On dit qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même. La maison-mère de Home Depot vient de contourner les maux de sa chaîne d’approvisionnement en affrétant son propre navire.
La filiale de JELD-WEN Holding au Canada annonce un investissement de plusieurs millions de dollars à son usine de fabrication de Saint-Henri, une petite municipalité à l’Est de Lévis dans la MRC de Bellechasse.
Fondée en 1929 par Morris Abram et représentée au Québec par la firme King marketing, Arrow Fasterner adhère à l’AQMAT.
L’entreprise fondée par Louis-Philippe Royer, en pleine crise économique de 1934, dans le village du Lac Drolet, rejoint les rangs de l’AQMAT.
Une deuxième salve de sondages commandée à la firme Léger par plusieurs associations liées à l’univers de la construction révèle que le coût élevé des matériaux commence à peser dans la décision d’effectuer ou non des travaux. Les problèmes d’approvisionnement semblent aussi plus généralisés ce printemps.
Longtemps vue comme la tête de proue de ce mouvement croissant en faveur de la construction pré-chantier et du lamellé-collé, surtout en cette ère marquée par une pénurie main-d’œuvre et une fixation pour le respect des délais, Katerra vient de se mettre à l’abri, comme on dit pour être poli, de ses créanciers. En langue plus crue : la méga entreprise californienne profite actuellement du chapitre 11 du fameux code américain sur la faillite.
À Winnipeg, ville des fameux Jets (!), un dénommé Ken Sexton a fondé Kenroc et d’autre part Sexton Group en 1985. Ce dernier vient d’adhérer à l’AQMAT.
Des acheteurs dans les centres de rénovation me préviennent que les propositions visant des matériaux non conformes pullulent en ce moment. Le prix et la rareté des matériaux rendent affriolantes certaines occasions.
Sur le Portail du bâtiment durable au Québec, Sylvain Perron, directeur des affaires gouvernementales et de la gestion administrative au Conseil du bâtiment durable du Canada – Québec, signe une chronique dans le cadre de la consultation publique sur l’état des lieux et la gestion des résidus ultimes qui se déroule depuis le 8 mars.
Pour arriver à convaincre plus de 1100 employés et cadres d’entreprises membres à participer à une activité de sensibilisation au harcèlement dans notre industrie alors que sévit la pandémie, que nos entreprises travaillent des heures folles et que subsiste une grosse résistance au changement, l’équipe de l’AQMAT a dû pédaler, être audacieuse et surtout, résiliente.