Nouvelle en vedette


Que faire avec les tonnes et les tonnes de gypse en surplus des chantiers ?

Après deux rencontres entre plusieurs dizaines d’organismes et d’entreprises sous le nom de « table de travail sur le gypse », dont l’AQMAT, un plan d’action vient d’être déposé en vue de concevoir et d’implémenter un programme viable de recyclage de ce matériau tant utilisé, mais trop peu intégré à un cycle de réutilisation ou même de recyclage, d’où des impacts dans la nature…



Hausses et baisses de prix en même temps: un marché en montagnes russes avec des pertes de stock et de marges à l’horizon

Au vu de la pénurie, les marchands, sous les auspices des bannières, ont acheté beaucoup de matériaux et d’articles de quincaillerie afin de ne pas se faire prendre une deuxième fois avec des ruptures de stock. Ils vivent actuellement avec la crainte de rester « collés » avec un surplus de marchandise dû à un double phénomène: la capacité de payer des consommateurs et l’appel du déconfinement.


Bois d’œuvre: demande accrue, mais production locale stagnante

La division Économie et marchés du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) a la (bonne) habitude de partager généreusement ses compilations de données sur la consommation et la production de bois d’œuvre résineux au Canada et aux États-Unis. Dans son rapport d’hier, plusieurs points méritent l’attention des membres de l’AQMAT et desquels on peut extrapoler certaines prévisions.






Katerra la visionnaire poussée à la faillite à cause de l’insolvabilité de son financier

Longtemps vue comme la tête de proue de ce mouvement croissant en faveur de la construction pré-chantier et du lamellé-collé, surtout en cette ère marquée par une pénurie main-d’œuvre et une fixation pour le respect des délais, Katerra vient de se mettre à l’abri, comme on dit pour être poli, de ses créanciers. En langue plus crue : la méga entreprise californienne profite actuellement du chapitre 11 du fameux code américain sur la faillite.