L’an 2020 représente une fin et donc, forcément un début. Je pourrais référer à plusieurs choses et m’égarer, mais restons concrets et surtout, humbles. Concentrons ce blogue à se demander pourquoi l’AQMAT, une association patronale, devrait célébrer le Jour de la Terre?
La direction de l’AQMAT l’avait appris le mois dernier, mais c’est maintenant officiel : « Dunc » Wilson vient d’annoncer qu’il prend sa retraite de sa longue carrière qui avait débuté dans les années ’70.
Hier encore, l’AQMAT et les autres associations du secteur de la construction couraient après les renseignements précis à fournir aux centres de rénovation et à leurs clients professionnels quant à savoir quels chantiers pouvaient redémarrer tout de suite. Voici les réponses.
Mireille Mathieu se joint à IKO, entreprise implantée au Canada, offrant des produits de toiture résidentiels et commerciaux, au sein de son équipe de ventes.
Les centres de rénovation subissent une certaine pression de leurs deux types de clients. D’une part, des consommateurs s’inquiètent de l’état de leur maison après l’hiver et veulent savoir s’ils peuvent entamer des travaux de réfection ou d’entretien. D’autre part, des entrepreneurs appellent pour obtenir des fournitures afin d’équiper leurs travailleurs sur les chantiers qui rouvrent. Faisons le point.
La crise sanitaire a forcé le gouvernement à bouger vite et notamment, à inventer un programme de subvention à la formation destiné aux employés afin de les aider à garder leur lien d’emploi. L’AQMAT a été aussi vite sur ses patins et a provoqué, hier, la tenue d’un webinaire. Pas moins de cinquante membres se sont virtuellement pointés. Retour sur cette initiative.
On sait quels chantiers pourront rouvrir lundi. Ce seront principalement ceux qui concernent la livraison de résidences en juillet et qui étaient déjà amorcés avant le premier décret de fermeture, donc à la mi-mars. Mais l’AQMAT interroge ses membres : quels autres travaux jugez-vous urgents de reprendre? Selon vos renseignements, nous prioriserons nos représentations auprès du gouvernement et des associations d’entrepreneurs.
Avec la reprise des chantiers, le retour de la clientèle, les quincailleries et centres de rénovation prient pour qu’un cas de contamination ne survienne pas dans leur commerce. Le moment serait mal choisi, en effet, d’obliger l’établissement à se placer en quarantaine. Ce serait 14 jours stratégiques ratés et la naissance d’une inquiétude chez les employés et les clients. Mais si jamais ça devait arriver, voici ce qu’il faut faire.
On m’a demandé de donner la chance au coureur après mon blogue intitulé « Le panier pas assez bleu», paru au début de l’initiative gouvernementale supposée encourager l’achat local. Une semaine plus tard, les choses semblent plutôt empirées.
Depuis, hier, Louise Bouchard a rejoint les rangs de l’équipe AQMAT à titre de rédactrice en chef.