Avec la reprise des chantiers, le retour de la clientèle, les quincailleries et centres de rénovation prient pour qu’un cas de contamination ne survienne pas dans leur commerce. Le moment serait mal choisi, en effet, d’obliger l’établissement à se placer en quarantaine. Ce serait 14 jours stratégiques ratés et la naissance d’une inquiétude chez les employés et les clients. Mais si jamais ça devait arriver, voici ce qu’il faut faire.
Des experts ont développé des protocoles stricts d’assainissement des lieux et des surfaces en contexte de pandémie. Que ce soit en mode préventif ou curatif, leurs interventions – tests et produits approuvés – sont directement liées à la COVID-19.
« Quand on quitte les lieux, on a la garantie qu’il n’y a plus de virus grâce aux tests effectués par un microbiologiste », dit René-Charles Landry, président de GUS, une entreprise spécialisée en nettoyage.
Le hic avec la COVID-19, c’est justement que c’est un virus et qu’il ne suffit que d’une personne infectée pour l’introduire dans le magasin. C’est là qu’il faut agir en prévention constante et des professionnels peuvent accompagner les employés dans la vaporisation et la brumatisation des surfaces. « En impliquant la main-d’œuvre dans le processus, on diminue les coûts pour le commerçant », ajoute René-Charles Landry.
À ce jour, GUS a déjà réalisé divers mandats en entreprises privées et publiques. L’entreprise n’est pas peu fière d’avoir obtenu le contrat de nettoyage des autobus de la Société de transports de Sherbrooke pour laquelle elle nettoie plus de 120 autobus quotidiennement.
Mais le travail des professionnels ne donne pas congé aux commerces de poser des gestes de prévention et de nettoyage fréquents. Relisez notre douzaine de consignes et commandez vos fournitures sanitaires.
C’est à titre préventif et en collaboration avec des experts que GUS a développé un protocole de nettoyage spécifiquement consacré à l’assainissement des lieux et des surfaces diverses en ce contexte de pandémie.