Bien que nous n’avons pas encore la confirmation que le décret s’appliquera tel que présenté il y a une semaine, à savoir que le passeport vaccinal devra être exigé des clients des magasins de plus de 1500 mètres carrés (16 165 pi ca), il faut se tenir prêts.
« Pourquoi mettre une mesure qu’on ne pourra pas maintenir et qui n’apportera aucune amélioration aux problèmes de notre système de santé ? »
Ce n’est pas tout le monde qui sait que la France possède un territoire dit outre-mer à quelques kilomètres du Québec: l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon. Des ressortissants français et des expatriés canadiens y habitent, environ 6000. Conséquemment, ils ont besoin de quincaillerie et de matériaux. Or, le Groupe Sexton annonce que le commerce Habitat Confort SPM a rejoint ses rangs.
Sous réserve d’une pirouette de dernière minute du gouvernement, un décret obligera à compter de lundi tous les magasins de plus de 1500 mètres carrés (16 165 pi ca) à exiger le VaxiCode à l’entrée. Or, les clients, même plusieurs employés, sont déjà embêtés. D’où l’importance de signaliser clairement le statut de chaque magasin.
Les diverses interventions médias et représentations que l’AQMAT effectue depuis six jours, en fait depuis que le gouvernement du Québec a exprimé l’intention de décréter le passeport vaccinal comme condition d’entrée dans les quincailleries et autres commerces d’une superficie de vente de plus de 1500 mètres carrés (16 165 pi ca), ont généré une tonne d’appuis. L’heure est maintenant aux résultats.
Ce matin, par la voix de son président Richard Darveau, la direction de l’AQMAT sollicite deux des ministres du gouvernement du Québec pour qu’ils fassent valoir les impacts négatifs sur l’économie et la main-d’œuvre que causerait l’obligation du passeport vaccinal dans les centres de rénovation d’un certain format.
Près de sept propriétaires et gestionnaires de quincailleries et de centres de rénovation sur dix ne voient pas d’un bon œil l’exigence du passeport vaccinal à compter de lundi, même si, à première vue, la mesure ne touchera qu’environ 200 des 900 établissements.
Faisant confiance depuis 2013 à JRTech Solutions pour le déploiement des étiquettes électroniques dans ses 21 magasins, la direction de Patrick Morin vient de renouveler son entente avec la même firme, cette fois en optant pour des étiquettes électroniques dites graphiques.
Orgill, qui dessert les quincailleries, centres de rénovation et fournisseurs de bois d’œuvre, a annoncé des changements dans la structure et les opérations de son service des achats pour soutenir les projets à long terme de l’organisation.
Le journal L’Express de Drummondville vient de confirmer la fin de la construction du deuxième bâtiment de son centre de distribution à Drummondville, devant servir aux produits saisonniers et à d’autres matériaux de construction à être expédiés principalement dans la grande région de l’Estrie et du Centre-du-Québec. Coût estimé de la construction: 25 millions de dollars.