Entre les municipalités D’Alma et de Saguenay, on trouve le village de Larouche. Mille six cents habitants qui seront sans quincaillerie à partir de la mi-février à la suite de la fermeture de la Quincaillerie Xpress, en activité depuis six ans. La mairie est prête à dérouler le tapis rouge, dans les limites de ses ressources tout de même, pour trouver une relève.
Dans un message d’appui envoyé aujourd’hui à la Corporation des maîtres électriciens du Québec (CMEQ), la direction de l’AQMAT exprime sa volonté de mettre en garde les consommateurs contre toute initiative qui pourrait engendrer des risques de plusieurs ordres.
C’est dans une proportion de neuf quincailliers sur dix que les membres de l’AQMAT souhaitent que des actions soient entreprises face à Visa et MasterCard.
Saint-Gédéon vient officiellement de perdre sa seule quincaillerie. Le point de service, propriété de la Quincaillerie Tremblay Laroche de Métabetchouan, ne rouvrira finalement pas ses portes après sa fermeture de mars dernier.
Des quincailleries qui ferment faute de relève, de marché ou de compétences pour affronter une réalité différente, notamment plus techno, c’est plus que des statistiques. Ce sont des pertes patrimoniales et parfois des attaques à la survie de villages. La direction de l’AQMAT n’y est pas insensible. Des services concrets seront étudiés par le conseil d’administration à sa réunion mercredi prochain.
Un couple de jeunes entrepreneurs, investis depuis plusieurs années dans l’entreprise familiale RONA Quincaillerie des Rivières, à Waterville, exploitera désormais le magasin fondé par la famille Fluet sous le nom RONA Centre de rénovation Stanstead.
On devine que la Prestation canadienne d’urgence (PCU) aura des effets sur les finances des employés. Certaines cigales auront oublié la discipline de la fourmi! Mais cette PCU pourra également impacter les employeurs. En tout cas, elle s’invite dans la préparation ces jours-ci des T4 pour l’année d’imposition 2020. Explications.
Des restaurateurs du Québec poursuivent Uber Eats, DoorDash et autres services de livraison pour « frais disproportionnés » et « position abusive », arguments évoqués en ce qui concerne les tarifs imposés par Visa et MasterCard, des taux qui n’ont pas vraiment fléchi malgré une augmentation de plus de 1000 % du volume d’affaires transigé depuis dix ans en raison du commerce en ligne.