
S’il y a tant d’emplois à pourvoir dans les quincailleries et les manufacturiers qui les alimentent, ce n’est ni en raison des programmes gouvernementaux de type PCU, ni d’un phénomène de démission généralisée. C’est surtout parce que des dizaines de milliers d’employés choisissent de quitter les commerces et les usines pour travailler ailleurs.