Le blog de Richard


C’est pas pour rien qu’on l’appelle l’Événement!

Des grêlons gros comme des balles de golf et des rafales de vent en diagonale qui entrent de partout dans les voiturettes. Un participant qui mange une balle à bout portant et voit une boule grosse comme un grêlon pousser sur son tibia. Alain Messier, président de Mur Design, intéressé par notre programme de bourses pour la relève en quincaillerie, qui nous apporte une magnifique toile pour mettre à l’encan. Michel Morin, du groupe Patrick Morin, sensible au geste de son fournisseur et désireux d’encourager l’initiative de l’ADMACQ, qui accepte de donner 7 000 $ pour la fameuse toile. Un cadre de BMR, Bruno Baldessari, qui entre la balle d’un seul coup justement au trou « Visez juste » commandité par son employeur. Ajoutons à cela le fait que 30 joueurs confirment 72 heures avant le départ pour porter le total à un honorable 276 golfeurs, un cocktail de trois heures sous le soleil en raison de la partie pourtant écourtée pour motif d’apocalypse, et maintenant je sais pourquoi notre tournoi se fait appeler L’Événement golf!

Dans les circonstances, comment s’étonner que le tout ait généré des bénéfices records? 36 000 $, 20 % de plus que la normale.


Les golfeurs et les autres

La saison est installée. Celle du golf et de ses veuves ou veufs. Si tout le monde patine, tout le monde pédale, tout le monde marche, tout le monde ne golfe pas.

Demain, derrière les inévitables roulottes mobiles, ou plutôt immobiles, qui bordent la 20 depuis les années quarante à Sainte-Madeleine, sur un site d’une beauté insoupçonnée, près de 300 membres s’adonneront à leur sport entre amis et collègues, à l’occasion du traditionnel Événement golf de l’ADMACQ. Pendant ce temps, un grand segment de nos membres tournera le dos à cette occasion de réseautage et de détente estivale parce que peu ou pas intéressé aux petites baballes blanches à taper à coups de bois et de fers.

C’est la triste dychotomie du golf. Faut-il pour autant se résigner tel le croyant devant la Fatalité? Pas mon genre.

Réagissons.

Annonçons.

En 2009, promis, juré, mais pas craché (c’est pas beau), l’ADMACQ proposera au moins un autre get together destiné à tous ces non-golfeurs qui peuplent notre industrie et méritent tout autant qu’on s’occupe de leurs besoins de réseautage. On fera quoi? Course automobile, tennis, soccer? Je l’ignore. Une croisière sur le fleuve, un 5 à 7 dans un lieu branché? Je vous dis que je ne sais pas, pour le moment; le grand sondage qui se prépare nous fournira sinon des réponses, du moins de bonnes pistes.

Ce qui ne nous empêchera nullement, en parallèle, de tenter la conversion de nouveaux joueurs en ajoutant une initiation au golf avec un pro, complétée d’un neuf trous des plus conviviaux. Voilà une formule qui permettra à tout le monde, novices et femmes inclus, de manger ensemble le soir après une journée qui, pour une fois, ne nous aura pas divisés en deux clans.

Ainsi, à pareille date l’an prochain, ce blog aura pour titre : Les golfeurs, les nouveaux golfeurs… et les quelques autres!


Sécuriser pour mieux glisser sur l’eau

Puisque juin a été thématisé « Mois de la sécurité », parlons-en. Parce que j’ai l’impression que vous, les détaillants, travaillez toujours si fort et si longtemps qu’il vaut la peine de colmater les trous dans votre embarcation afin que chaque effort déployé serve à vous faire avancer vraiment plutôt qu’à éponger coûts et coups.

Je vais d’abord vous matraquer avec deux chiffres, histoire de vous savoir là, ébranlés, mais bien concentrés sur mon propos : chaque jour qu’ouvrent les commerces de détail au Québec, les employés vous usurpent pour une valeur dépassant le million de dollars. Pendant ce temps, vos clients vous volent pour presque un million de dollars en valeur de marchandise.

De quoi se décourager collectivement d’être marchand!

Et dire que le Canada se classe parmi les meilleurs pays au monde en termes d’éthique. Je n’ose pas imaginer l’ampleur des pertes économiques qui prévalent dans les pays plus cow-boys!

Les montants indiqués n’incluent pas les frais supplémentaires d’assurances causés par de tels délits, ni le coût de roulement du personnel que tout cela provoque. Sans parler du revers de la médaille de la sécurité, je veux parler de la santé et de la sécurité de vos employés, avec ce que cela engendre de frais de cotisation à la CSST et autres coûts d’avantages sociaux.

S’agissant ici du blogue, je resterai superficiel. Je n’entrerai pas dans les conseils ni dans les actions que l’ADMACQ caresse de poser pour vous aider, d’une part, à sécuriser vos magasins et, d’autre part, à réduire vos cotisations à la CSST par un meilleur programme de prévention et un suivi plus serré des réclamations. Les pages appelées « Zone rouge » du magazine Quart de Rond iront, elles, au fond des choses.

Je m’en tiendrai à vous souhaiter de trouver durant ce mois de juin, malgré l’effervescence de la saison, quelques heures pour colmater les brèches de votre sécurité commerciale et peaufiner votre approche de la prévention des accidents de travail.

C’est trop bête de faire du surplace.


Partir ou rester?

Comme une grande partie des Québécois, vous vous demandez et moi aussi  si vous irez du côté des États-Unis pour vos vacances dites « de la construction ». Le cœur, le portefeuille et la montre balancent.

Côté cœur, on veut tous encourager nos belles régions. Les aubergistes déploient leurs offres, qui nous semblent toujours un peu salées, non? C’est comme si payer une chambre 150 $ la nuit était normal en Europe, mais dur à avaler pour qui voyage dans son propre pays. Le vrai problème, de toute façon, demeurera toujours Dame Nature, rarement de notre bord… de la frontière.

Pour le portefeuille, cest bien embêtant. Lessence est tellement chère maintenant. En revanche, notre dollar fort sapprécie chez nos voisins. Véritables as de la promo, ils cultivent lart ou la technique pour déstabiliser nos bonnes intentions de faire le tour du Québec.

Il reste le facteur temps. Les histoires dhorreur entendues autour des attentes aux postes frontaliers me portent sérieusement à ne vouloir circuler que chez nous.

Et si je planifiais les vacances comme un projet au travail? En commençant par le commencement. Cela veut dire minterroger sur ce que mes proches et moi voulons vraiment vivre. Cerner limpact attendu des vacances peut me montrer le chemin à emprunter; litinéraire simposera possiblement de lui-même après un tel exercice.

Je pense quune fois que je saurai précisément ce dont jai le goût, il me sera aisé de déduire le budget et la durée de voyage que mes conditions peuvent permettre.

Ce qui me permet de conclure sur une lapalissade quaurait pu déclamer le joueur et coach de baseball Yogi Berra : « Si tu ne sais pas ce que tu veux, tu ne sauras jamais si tu las. »


Il suffit parfois de peu de choses pour tout changer dans une relation…

Cest fou comme un détail peut changer une vie! Je me souviens, ma femme aussi elle se souvient hélas! de tout de ces vacances sur la côte catalane, à demi ratées, parce que javais confondu essence et diesel; lAlfa Romeo navait pas appréciée du tout. Le garagiste-dépanneur, lui, oui.

Un autre jour, jétais entré dans New York, à minuit, par le mauvais pont, celui quil faut éviter à tout prix, le George-Washington, je crois. Même avec les vitres remontées, les portières verrouillées, les consignes données à toute la petite famille de ne regarder ni à gauche ni à droite, on sentait nos vies en otage.
Cest mu par une distraction sans doute de même mouture que javais malencontreusement cliqué ou oublié de cliquer sur un petit bouton, ce qui ma amené à croire que vous ne vouliez pas me parler depuis que je vous blogue. 
Alors que les statistiques constataient que vous me lisiez, vos silences faisaient naître le doute. 
Naviez-vous rien à me dire? Mes propos vous laissaient-ils de glace malgré la fonte printanière? Je devenais inquiet. État rarissime.

Cest maintenant réglé. Jai coché les bonnes cases, vous permettant de décocher les bonnes phrases.
Oups! jy pense. Si je ne reçois rien à partir de maintenant, comment devrais-je alors interpréter votre non-action?
Alors je vous en prie, soyez un ou deux, à chaque blogue, à raconter tout ou rien, un mot. On saura ainsi que ça clique entre nous. Technologiquement. Ce sera déjà ça.


Phase deux

Maintenant que lassemblée générale annuelle des membres a eu lieu, quun nouveau conseil dadministration a été élu, quun premier congrès des cinq associations oeuvrant au Canada pour les quincailleries et les centres de rénovation sest également tenu, on peut dire que jentre dans une deuxième phase.

La première aura duré cent jours. Quelques nuits aussi. Période d’apprivoisement mutuel des membres, des administrateurs, des annonceurs, des employés, des collaborateurs et de moi-même. On se connaît maintenant. Assez en tout cas pour ramer dans le même sens.

Je suis arrivé avec quelques idées, surtout des principes, que jai délicatement imposés, ou virilement suggérés (!), et sen est suivie une ronde dadaptation à la réalité de lADMACQ. Car comme le veux ladage : « Chez nous, cest jamais pareil. » On sait que tout est plus universel quil n’y paraît, mais il faut bien respecter la résistance naturelle au changement et le droit de tous à la différence…

Toujours est-il que lAGA (lassemblée générale annuelle) sest déroulée le 7 mai dans le magnifique hôtel Le Capitole, chargé dhistoire, au pied de la porte Saint-Jean à Québec. Pour la première fois depuis des lunes, apparemment, nous avions le quorum : 30 membres votants étaient représentés conformément à nos règlements.

Les états financiers ainsi que les commentaires du secrétaire-trésorier sont disponibles sur le Quart de Rond Xpress diffusé aujourdhui. Léger excédent des revenus sur les charges; on a la tête au-dessus de leau, on peut respirer, alors ça va aller.

Jai été heureux de constater que tous les administrateurs sortants ont accepté demblée de renouveler leur mandat et que du sang neuf a été ajouté en les personnes de Pascal Bouchard, de Bell Solutions daffaires, et Gaëtan Picard, dICC Technologies. Bienvenue à vous deux et bonne continuité aux autres.

Les 8 et 9 mai ont été débordants déchanges fructueux entre les directions des cinq associations de détaillants : ABDSA dans lAtlantique, ADMACQ bien sûr, BSIA en Colombie-Britannique, LBMAO en Ontario et WRLA dans les Prairies. Nos quatre pendants étant tous en meilleure santé financière que nous, avec plus de membres, beaucoup plus dactivités et dengagement dans leur communauté daffaires, que je dois vous dire avoir surtout passé du temps à prendre des notes et à poser des questions quà prendre la parole…

Aujourdhui, on passe en deuxième vitesse.

Je sais ce que les autres font et quon a négligé depuis au moins dix ans. Je pense aussi savoir par quel chemin my rendre, ou plutôt vous y conduire. Toutefois, pour éviter de se perdre en route ou de se tromper carrément de direction, jentre de plain-pied en période de sondage, de test, de proposition, avec vous, membres comme non-membres.

Oui, vous avez bien lu : il mintéresse autant de savoir pourquoi vous êtes membre actuellement que les raisons pour lesquelles vous nêtes pas ou plus membre de lADMACQ.

La deuxième phase durera aussi à peu près cent jours. Et quelques nuits dinsomnie, cest sûr. Car il y aura des choix déchirants à faire. Vous voulez des exemples?

– Tenir ou ne pas tenir un salon? Oui, oui, jai bien dit « un salon ». Vous savez, le genre dévénement que toute association a normalement, mais que nous navons plus depuis dix ans.

– Sengager ou non dans la formation des membres? Et si oui, aller ou non jusquà la certification de leurs compétences?

– Faire renaître un congrès et, si oui, avec un gala reconnaissant nos meilleurs commerces et nos meilleurs employés ou non?

– Soumettre lacceptation des membres à certains critères ou se contenter comme maintenant du paiement de la cotisation pour être en règle?

– Et ultimement, changer de nom ou le garder?

On sen reparle. Je vous sens déjà impatient de men parler.

Sur ce, il se fait tard. Je men vais prendre une blonde (une bière!rabais-mystere). Bien méritée, je crois.


Les leçons du Canadien

Les petits drapeaux bleu-blanc-rouge sur les vitres d’auto sont en berne. Ils seront bientôt remplacés par ceux indiquant les verts sur les terrains de golf…

Quelle leçon pouvons-nous tirer de la saison et des séries du Canadien pour bonifier nos organisations?

L’équipe a beaucoup mieux fait que l’annonçaient les pronostics, comme quoi on peut − que dis-je − on doit toujours assortir un plan à long terme de résultats d’étapes à plus brève échéance. Le DG Gainey a répété que le club était aligné sur une planification stratégique de cinq ans. Ses dirigeants ont tout de même réussi à nous offrir une première place de division et une deuxième ronde dans les séries. Ainsi, l’année prochaine ne peut qu’être meilleure, du moins aussi bonne.

Pour l’ADMACQ qui s’apprête à coucher sur papier sa propre planification 2009-2013, l’enseignement arrive à point nommé. Les membres seront d’accord pour que leur association vise des sommets en 2013. Entre-temps, on voudra quand même des résultats, constater une progression progressive, comme on dit chez les bègues.

Et pour chacune de vos entreprises, qu’en penser? Si vous êtes le patron, enrôlez vos troupes dans un vaste et ambitieux planning, certes. Sans oublier cependant de mesurer les étapes franchies et leur demander des comptes périodiquement. Si vous êtes employé, exigez de votre supérieur de connaître ses attentes à court terme à votre égard, pas seulement pour la fin de l’année… ou pour 2013!

Mon Dieu que je suis sérieux aujourd’hui! Est-ce le blues de la défaite ou la nervosité avant mon premier grand match mercredi, aussi appelé l’« assemblée générale annuelle des membres »?

En tout cas, ni le temps ni la tête au golf cette semaine, moi!


Pluvieux

Blogue à part, c’est mon anniversaire.

Merci beaucoup.

Un anniversaire qui tombe un lundi, c’est déjà pas terrible. Et ce ciel gris me fait sentir « plus vieux ».

J’espère ne pas passer dans les annales comme l’un des derniers interviewés de la chef d’antenne de TQS Montréal, Caroline Lacroix. Passée ce matin au bureau avec sa camérawoman pour discuter de l’enquête sur la comparaison des prix entre les États-Unis et le Québec, elle venait tout juste de recevoir son avis de cessation d’emploi de la part des nouveaux propriétaires de la station. La camérawoman aussi. Sans nouvelles, les lettres TQS pourrait bien équivaloir un jour à Très Quelconque Station. La balle est maintenant dans le camp des autorités de la radio-télédiffusion du Canada…

Quoi fêter alors?

Le Canadien? Trop tôt. L’ouverture de la saison de golf? Pas le temps de jouer. La météo? Euh! on annonce de la neige pour ma région natale (l’Abitibi).

Et si je célébrais simplement, comme il se doit, mon travail. Le fait d’avoir un emploi sûr est déjà quelque chose en cette période de grande fébrilité économique. Une rémunération décente, des responsabilités stimulantes, le tout saupoudré de marques d’appréciation à l’occasion font de moi un homme comblé.

Alors nul désir de m’en évader vers les golfs clairs. En tout cas, pas quand il pleut.

Richard


Réchauffement

Comment parler d’autre chose aujourd’hui que de météo. Et du Canadien.

Ça n’a rien à voir avec votre business, mais indirectement, oui. Vos clients sont en ce moment à 50 % touchés par le beau temps et à 50 % par l’âpreté avec laquelle le club de hockey laboure les séries.

Écoutez, l’été est arrivé sans printemps annonciateur. Les bancs de neige sont passés d’un mètre à zéro centimètre en une semaine. Les filles sont passées des bottes en mouton aux sandales en un week-end.

Je serai donc bref, pour ne pas dire explicite. L’ultime match se déroulant ce soir même, on s’en reparlera plus avant demain. Si le club gagne, et qu’en plus le beau temps continue, tout va aller. S’il perd, mais qu’il fait quand même beau, le moral du Québec tout entier sera endeuillé. Alors ne vous obstinez pas avec la réalité et faites comme feront vos clients : prenez une pause.

De toute façon, il fait TELLEMENT beau. Voulez-vous bien me dire ce que vous faites derrière votre ordinateur?

Richard


Gérer d’une main, écrire de l’autre. Et avec quelle main on réfléchit?

Depuis mon entrée en poste le 21 janvier, j’ai l’impression d’être devenu quincaillier. Comme vous, je travaille maintenant sept jours sur sept. Comme à vous, ma femme me demande si on aura le temps de prendre des vacances cette année. Parce que gérer l’ADMACQ, c’est un peu comme gérer une PME, avec ses feux à éteindre, sa trésorerie à balancer pour que tout le monde soit payé. Et entre deux lunches pris debout ou devant l’ordinateur, ne pas oublier de planifier.

Oui, planifier. Car il faut aussi réfléchir tout en s’occupant des salons à visiter, des ouvertures de magasins à couvrir pour le magazine, des fonctionnaires et ministres à rencontrer pour leur dire qui on est et ce qu’on veut.

Il faut réfléchir.

Le conseil d’administration l’a compris. À sa séance du 26 février, il a été clair à mon endroit : « Conduis-nous vers des horizons plus vastes. Stimule les troupes pour que l’ADMACQ devienne plus utile. Devenons plus représentatifs de nos membres. »

Ce que vos administrateurs n’ont pas dit ni écrit, mais n’en pensent pas moins, c’est qu’ils comptent sur moi pour que la vie quotidienne de l’ADMACQ ne souffre pas de ces travaux de réflexion stratégique. Le magazine Quart de Rond doit sortir aux dates prévues, les cotisations des membres doivent être renouvelées comme à l’habitude, etc. Et surtout, pas de dépenses « extra » pour ce travail extra(ordinaire).

Ouf! ils ont quand même été corrects, ils m’ont donné jusqu’à la fin de l’année 2008 pour produire cette fameuse planification stratégique. Ça devrait aller. D’autant plus que ce n’est pas vraiment moi qui va faire le travail. Mais vous.

Oui, vous!

Pas bête, le gars. Je ne vais quand même pas me taper tout le boulot pendant que vous me regardez, confortablement installés dans vos commerces. D’ailleurs, n’est-il pas écrit dans le Quart de Rond de mars qu’on veut « un plan stratégique qui vous ressemble, qui nous rassemble »!

Tout étant dit, huit cents membres avertis en valant le double, vous savez à partir d’aujourd’hui que vous serez hautement sollicités pour réagir aux projets que nous vous lancerons. Mieux encore, vous serez souvent invités à soumettre vos propres idées pour l’ADMACQ. Toute l’année, nous vous consulterons, nous provoquerons les rencontres pour vous écouter.

L’ADMACQ deviendra un tout petit peu ce que j’en pense, beaucoup plus ce que VOUS créerez comme projets, et ce que VOUS en déciderez.

Ainsi, en vous déléguant une bonne partie du travail, nous aurons un jour une association plus utile et plus représentative, comme le souhaitent vos administrateurs. Et peut-être pourrai-je offrir des vacances à ma femme… à Noël!

Richard