
La crise du logement au Québec est exacerbée par l’état vétuste des infrastructures d’égouts et d’aqueducs dans plusieurs municipalités, contraignant ces dernières à restreindre le développement résidentiel. Cette situation crée un paradoxe où la nécessité de nouveaux logements se heurte à l’incapacité des infrastructures à soutenir une croissance urbaine adéquate.