
Il est désormais possible de suivre BMR sur Facebook, Pinterest et YouTube. Au menu : des capsules vidéo, des tableaux d’inspiration, des concours, des promotions spéciales, des nouvelles des ambassadeurs Hugo Girard et Valérie Taillefer, etc.
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L’éditorial du magazine de juin de l’AQMAT, signé par le président du conseil d’administration, a fait couler plus d’encre que d’habitude. Il portait sur un sujet sensible: la fermeture légale de nos commerces le jour des déménagements, le 1er juillet.
Au moment d’aller sous presses, nous ne possédions pas toutes les statistiques de fréquentation du salon tenu de jeudi à samedi. Tous les observateurs et le promoteur s’entendent cependant pour statuer que le salon organisé par Orgill au Sands Convention and Expo aura été le plus couru par les marchands du Québec et du reste du Canada.
On sait que l’AQMAT a obtenu un accord de subvention de 200 000 $* pour mettre sur pied des formations afin de perfectionner les conseillers-vendeurs, département par département. Électricité, plomberie, matériaux, chaque département-moteur d’un magasin fera l’objet de cours spécifiques, en commençant par le névralgique secteur de la peinture, cela dès le premier trimestre 2017.
Si on croit l’entrevue accordée par Sylvain Prud’homme au journal Les Affaires, des magasins arborant la bannière Lowe’s verront le jour au Québec.
L’ouverture de tels magasins pourrait prendre quelques années, précise-t-il. Le cas échéant, on changerait tout simplement l’enseigne sur certains magasins RONA.
Sylvain Prud’homme ne ferme pas non plus la porte à la construction de nouveaux magasins portant la bannière bleue au Québec, pas plus qu’il envisage d’instaurer ou de transformer des établissements existants sous les bannières Dick’s Lumber et Ace.
L’année 2016 devrait être ponctuée par les célébrations du 60e anniversaire de création de Tolko Industries. Mais le calendrier se conclura plutôt par la fermeture de l’usine de papier Kraft que l’entreprise opère dans une petite bourgade du Manitoba.
La non-rentabilité serait la raison du cadenas prévu pour le 2 décembre.
L’entreprise manufacturière d’une large gamme de produits forestiers, dont le siège est à Vernon en Colombie-Britannique, s’est engagée à mettre en place un programme de relocalisation ou de réorientation des 332 employés touchés, bien que plusieurs choisiront le chemin de la retraite.
Cliquez ici pour voir un reportage de Radio-Canada sur l’impact de la fermeture.
Tolko Industries (www.tolko.com) est en pleine mutation depuis l’automne 2015 où une nouvelle direction a été donnée aux ventes. Une prise de conscience du marché plus ouvert qu’avant a conduit à un repositionnement. Cela signifie que les clients traditionnels n’ont plus l’exclusivité des produits, maintenant offerts à tout client, directement du moulin à coups de chargements de camions, voire de voitures.
Le personnel suit le cours des marchés des commodités de plus près, notamment le contreplaqué et l’OSB, ajustant continuellement les tarifs en fonction de la compétition.
Groupe BMR annonce avoir fait l’acquisition du terrain attenant à son magasin corporatif Ostiguy & Frères situé au 1000, boulevard Industriel à Chambly, en vue de la construction d’un nouvel entrepôt de matériaux.
Il s’agit d’un projet d’investissement total de 2,5 millions de dollars, soit 1,3 million de dollars pour l’achat du terrain et 1,2 million de dollars pour la construction de l’entrepôt.
Les travaux ont débuté hier et devraient se terminer en décembre 2016.
« La construction d’un entrepôt de matériaux tout juste à côté de notre magasin était un incontournable pour Groupe BMR et nous avons saisi l’opportunité dès qu’elle s’est présentée. Un accès direct à l’entrepôt nous rendra assurément plus efficaces et nous donnera plus de flexibilité », a mentionné le vice-président détail de Groupe BMR, Martin Lecomte.
La nouvelle fait suite à la volonté de Groupe BMR d’améliorer l’expérience client dans ses magasins corporatifs, dans la même veine que la récente annonce d’un investissement d’un million de dollars dans son magasin de Beloeil.
Il y a 48 heures, l’AQMAT avait reçu 13 réponses seulement à son enquête express : Le gouvernement Trudeau devrait-il forcer Visa et MasterCard à réduire leurs coûts aux marchands?
Nous venons de fermer le questionnaire après avoir compilé 131 réponses avec une aisance déconcertante puisque c’est dans une proportion de 98,50 % que les répondants appuient l’AQMAT dans ses démarches en vue de forcer le gouvernement fédéral à imposer des frais maximums aux émetteurs de cartes de crédit, notamment Visa et MasterCard qui forment un quasi duopole.
Lisons maintenant plusieurs commentaires qu’ont généreusement laissés des répondants.
« Je vous encourage, mais je ne pense pas que les taux changeront »
« C’est un monopole qui nous coûte une fortune »
« Important, nos marges sont tellement réduites déjà »
« Il ne semblent pas avoir de volonté de diminuer leurs frais et c’est peu négociable »
« Non, c’est au marché de choisir »
« Les frais imposés aux marchands sont trop élevés et devraient être payés également par l’utilisateur »
« C’est certain, car nous ne pouvons refuser les cartes les plus coûteuses des clients sans les frustrer. En ne limitant pas les frais, nous donnons le droit à VISA et MASTERCARD d’augmenter leurs pourcentages donnés aux clients à nos dépends. C’est injuste qu’ils puissent charger les taux qu’ils veulent »
« Lets all stop using credit card, that will fix it »
« Il faudrait aussi rendre les programmes de récompenses aux frais de l`utilisateur »
« Les intervenants majeurs devraient commencer un dialogue avec les émetteurs de carte de crédit »
« Les autres bannières devraient suivre Walmart »
La question m’a été souvent posée depuis quelques jours par des membres surpris de mon silence face aux rebondissements dans l’affaire impliquant (ou non) le politique dans la décision de vente des actions que Investissement Québec possédait dans RONA préalablement à la vente de la bannière aux mains de Lowes.
Je vais donc vous dire pourquoi l’AQMAT ne commente pas.
Nous sommes une association d’affaires qui ne verse pas dans la politique.
Quand Lowes a déposé une première offre publique d’achat, celle-ci avait été qualifiée d’hostile, en ce sens qu’elle avait été faite sans l’accord de la société ciblée. Nous avions alors largement couvert et commenté l’affaire. En soutien à notre membre, RONA, attaquée, en quelque sorte.
La récidive est toute différente. Tant la haute direction que le conseil d’administration de RONA s’étaient montrés favorables à une acquisition éventuelle par la multinationale bleue. Même que certains observateurs avancent que c’est RONA qui aurait fait les premiers pas.
Peu importe qui a embrassé qui en premier, les deux parties étaient d’accord. Partant, il nous semble peu utile de remonter le temps pour vérifier si le gouvernement du Québec ou ses bras financiers (Investissement Québec, Caisse de dépôt et placement, etc.) avaient contribué à préparer ou non la mariée pour favoriser la transaction.
Je le répète : l’OPA qui a conduit à la vente de RONA était bienvenue. Dès lors, pourquoi l’AQMAT tenterait de protéger son membre (RONA) contre une action à laquelle elle a délibérément choisi de donner son concours ?
L’AQMAT va défendre bec et ongles ses membres. C’est dans notre ADN. Notre raison d’être est explicite à ce sujet. Permettez qu’on se la remémore.
L’Association a pour objet de :
Quand il y a un feu quelque part, avisez-nous qu’on intervienne. À défaut, on ne va pas perdre son temps à en allumer des faux…
Chaque mois d’août ramène la vente annuelle chez Goodfellow.
C’est par centaines que marchands de toute couleur de bannières donnent suite au rendez-vous proposé aux installations de Delson.
Écoutons ici le président et chef de la direction de Goodfellow, Denis Fraser, souhaiter la bienvenue aux premiers visiteurs.