
Si l’intention d’imposer une présence majoritaire de la langue française sur les enseignes et les façades des commerces de détail du Québec est pavée de bonnes intentions de la part du gouvernement Legault, l’AQMAT et les autres associations commerciales doivent maintenant s’assurer que l’opération ne tourne ni à la chasse aux sorcières, ni à une application locale qui dépend des opinions de chaque inspecteur nouvellement embauché par l’Office québécois de la langue française (OQLF).