Entre deux ou trois campagnes…

Michel Colucci, mieux connu sous le nom d’artiste Coluche, reste l’un des comiques préférés des Français vingt ans après sa mort.

Caustique, impoli, dérangeant, il est un artiste aux multiples facettes, lui qui a fréquenté les milieux du cabaret, du cinéma et de la chanson, avant de se frotter à la politique en 1981 et au monde associatif en fondant les Restos du Cœur. Son incursion dans la campagne présidentielle est actuellement adaptée au cinéma.

Étant donné qu’on sort des fédérales, qu’on entre par procuration dans celles des États-Unis et que le premier ministre du Québec semble de plus en plus enclin à déclencher des provinciales sous peu, rions un peu avec Coluche dont voici quelques pensées :

Je ferai aimablement remarquer aux hommes politiques qui me prennent pour un rigolo que ce n’est pas moi qui ai commencé.

Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent, c’est pire!

Les sondages, c’est pour que les gens sachent ce qu’ils pensent.

Le plus dur pour les hommes politiques, c’est d’avoir la mémoire qu’il faut pour se souvenir de ce qu’il ne faut pas dire.

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