Neuf détaillants sur dix trouvent les étiquettes électroniques plus qu’essentielles en pandémie

La pandémie de COVID-19 ainsi que les mesures de confinement ont accéléré l’adoption de nouvelles technologies utiles aux commerces. JRTech Solutions, membre de l’AQMAT et partenaire de PRICER pour les étiquettes électroniques au Canada, vient d’évaluer l’impact des étiquettes électroniques dans l’industrie du commerce de détail lors la première vague pandémique et son avantages perçu face une pandémie ultérieure.

L’enquête en ligne a couvert plus de 1 000 magasins ouverts pendant le confinement: quincailleries, épiceries, pharmacies, vins et spiritueux, électroniques et automobiles. Deux types de population étaient représentés : 67 % de détaillants utilisateurs d’étiquettes électroniques contre 33 % de non-utilisateurs d’étiquettes électroniques.

Parmi les 67% de détaillants utilisant des étiquettes électroniques :

  • tous ont fait face aux problèmes liés au COVID-19 : manque de personnel, hausse de la demande des consommateurs, étagères en rupture de stock et hausse des commandes en ligne;
  • les deux-tiers ont déclaré que leurs opérations de vente seraient difficiles à gérer s’ils n’avaient pas d’étiquettes électroniques dans leurs magasins;
  • 92 % ont pensé que c’était essentiel, voire même très essentiel d’avoir des étiquettes électroniques pour faire face à ces problèmes;
  • les trois-quarts de ces détaillants ont dit se sentir prêts à faire face aux problèmes de la deuxième vague de COVID-19 parce qu’ils ont déjà des étiquettes électroniques en place dans leur magasin.

Parmi les 33% de détaillants n’utilisant pas d’étiquettes électroniques :

  • tous ont aussi affronté les problèmes liés au COVID-19 : manque de personnel, hausse de la demande des consommateurs, étagères en rupture de stock et hausse des commandes en ligne;
  • 83 % d’entre eux ont trouvé la gestion de leurs opérations en magasin
  • difficiles sans les étiquettes, voire même très difficiles pour 17 %;
  • les deux-tiers des répondants qui n’ont pas d’étiquettes électroniques ont pensé que les étiquettes auraient pu être essentielles, voire très essentielles pour faire face aux problèmes liés au COVID-19;
  • plus des deux-tiers de ceux qui n’utilisent pas d’étiquettes électroniques ont estimé qu’ils se sentiraient plus confortables à aborder les problèmes de la seconde vague du COVID-19, s’ils avaient déjà des étiquettes électroniques en place.

À travers l’enquête, selon la direction de JRTech Solutions, on peut observer la mise en avant de l’expérience des détaillants avec des étiquettes électroniques et celle de ceux qui n’en ont pas à travers quatre thèmes importants :

  • le niveau de difficulté à gérer leurs opérations;
  • le type de problèmes auxquels ils ont fait face lors de la première vague du COVID-19;
  • l’utilité des étiquettes électroniques face à ces problèmes;
  • les ressentis vis-à-vis d’une deuxième vague pandémique.

Le niveau de difficulté à gérer leurs opérations

On peut d’abord constater que tous les détaillants, qu’ils soient équipés de manière technologique ou non, ont eu beaucoup de peine dans la gestion de leur magasin pendant la première vague pandémique.

Le type de problèmes auxquels ils ont fait face lors de la première vague du COVID-19

Les résultats (figure 3) montrent que l’entière population de notre enquête, utilisateurs d’étiquettes électroniques ou non, a eu les mêmes inquiétudes lors de la première vague pandémique.

D’ailleurs à plus de 92 %, les étagères en rupture de stock et le manque de personnel ont été leurs problèmes principaux dans leurs opérations.

L’utilité des étiquettes électroniques face à ces problèmes

Ce que les figures 4 et 5 soulignent c’est que les étiquettes électroniques auraient été utiles pour affronter les problèmes suivants durant la première vague du COVID-19 : étagères en rupture de stock, manque de personnel, demande accrue de la consommation et hausse des commande en ligne.

Les ressentis vis-à-vis d’une deuxième vague pandémique

Pour finir, l’enquête a voulu savoir comment les détaillants se sentiraient face aux problèmes d’une deuxième vague de COVID-19, s’ils avaient déjà en place des étiquettes électroniques.

La figure 8 illustre que les solutions automatisées rendent plus confiants la majorité des commerçants de ce sondage pour faire face à la deuxième vague de la pandémie actuelle.

Les étiquettes électroniques et les étagères en rupture de stock

Pour contrer les étagères vides, principal problème des détaillants de l’enquête, certaines étiquettes électroniques dotées de caractéristiques techniques peuvent  réduire de moitié le temps de réapprovisionnement des rayons.

Le processus est rendu possible grâce à des applications qui permettent à un employé de scanner le code-barres de l’article à remettre sur l’étagère avec un PDA (Portable Data Assistant), ce qui active instantanément le flash de l’étiquette électronique en moins d’une seconde pour indiquer exactement où le produit doit aller sur l’étagère.

En conséquence, les étagères sont remplies jusqu’à 50 % fois plus vite qu’il faut généralement pour réapprovisionner normalement les étagères vides, diminuant ainsi potentiellement les problèmes de stockage des étagères lors d’une deuxième vague de COVID-19.

Les étiquettes électroniques face au manque de personnel

En automatisant les changements de prix et en associant des tâches à certaines fonction techniques des étiquettes électroniques, les détaillants peuvent embaucher des employés ayant peu ou pas d’expérience dans le commerce de détail. Les étiquettes électroniques accélèrent la formation professionnelle, car les employés n’ont pas besoin de connaître les tâches qui sont désormais automatisées ou simplifiées par les étiquettes électroniques. De plus, les détaillants peuvent potentiellement en faire plus, en moins de temps, avec les mêmes employés ou moins, ce qui atténue les effets de la pénurie de personnel lors d’une deuxième vague de COVID-19.

Les étiquettes électroniques face à la hausse des commandes en ligne

Avec les étiquettes électroniques, jusqu’à cinq à dix secondes par article collecté peuvent être gagnés pour remplir une commande. Des fonctionnalités techniques de géolocalisation associées aux étiquettes électroniques rendent plus faciles les opérations de commerce en ligne.

Pour chaque produit à retirer pour une commande, son étiquette électronique se met à clignoter. Le préparateur de commandes n’a qu’à suivre le chemin généré par l’application de géolocalisation et à choisir le produit indiqué par l’étiquette clignotante. Lorsque l’élément est sélectionné et numérisé, un voyant cesse de clignoter. L’étiquette du produit suivant de la liste se met à clignoter automatiquement, et ainsi de suite pour chaque produit de la commande, jusqu’à ce que celle-ci soit complètement terminée.

Le flash lumineux permet donc au personnel d’identifier plus facilement les produits sur les étagères et sa fonctionnalité instantanée permet de gagner du temps dans le choix du bon produit.

En conséquence, les détaillants peuvent réaliser des économies significatives en ressources humaines et de terminer plus de commandes par jour avec moins de personnel.

En particulier, les étiquettes équipées de capacités SmartFLASH et de géopositionnement telles que les étiquettes électroniques PRICER peuvent mieux résoudre les problèmes critiques des rayons en rupture de stock, des pénuries de personnel et du traitement des commandes en ligne.

*Étude réalisée pour le compte de JRTech Solutions, est le partenaire nord-américain de Pricer AB, l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’étiquettes électroniques.

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