Adapter les codes du bâtiment pour affronter les chaleurs extrêmes

À la suite d’incendies majeurs ayant causé la mort de centaines de personnes, le rapport du coroner de la Colombie-Britannique expose les lacunes des codes du bâtiment à travers le Canada pour que les résidences au pays deviennent mieux adaptées aux changements climatiques.

Au Québec comme ailleurs au Canada, les maisons se doivent d’être bien isolées pour conserver la chaleur en hiver, même qu’il est interdit pour Hydro-Québec de couper l’électricité en hiver. Devrions-nous également appliquer cette règle en été, en pleine canicule ?

Il faut y réfléchir, croit l’AQMAT, devant des hausses plus fortes et plus fréquentes des températures, ponctuées de plus en plus de journées de chaleur extrême.

Dans l’article publié sur le site de Canada Express News, on cite le bureau du coroner qui dit qu’il est temps de s’adapter.

« Les codes du bâtiment qui nécessitent un refroidissement passif et actif (pompes à chaleur, matériaux de construction, isolation, ventilation, verdissement, canopée, perméabilité du paysage, réflectivité solaire, etc.) peuvent atténuer les effets des épisodes de chaleur extrême »

Le coroner y recommande de moderniser les codes actuels pour encourager le refroidissement actif et passif dans les logements existants, en particulier dans les zones à faible revenu.

Pour prendre connaissance de l’article, cliquez ici.

 

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