Marge d’erreur rétrécie

Le droit à l’erreur existe moins en temps de crise. Commander trop ou pas assez, se tromper dans ses promotions, passer à côté de l’article le plus hot de l’été sont quelques exemples qui peuvent faire la différence, surtout en temps de récession.

Parce que l’argent se fait plus rare, distributeurs et manufacturiers qui vont exposer dans les divers salons de bannières qui commencent dans les prochaines semaines doivent mettre toutes les chances de leur côté en proposant des produits, en fait des solutions, qui vont se vendre vite et bien aux consommateurs.

Pour leur part, les marchands doivent visualiser la marchandise du point de vue du consommateur pour se demander si celle-ci trouvera preneur ou si elle encombrera longtemps les tablettes du magasin.

Autant je constate que nos quincailliers et leurs fournisseurs connaissent ce qu’ils vendent, autant je suis surpris par le peu d’intérêt qu’ils manifestent à l’égard de ceux qui n’achètent pas d’eux. Ce sont là, pourtant, de bien meilleures sources d’information.

Ainsi, à mon arrivée en poste, j’ai surtout consacré mes énergies à aller rencontrer les non-membres pour comprendre pourquoi ils levaient le nez sur l’association créée pour eux. C’est leur feedback qui m’a guidé, bien plus que l’information provenant des fidèles.

C’est fou ce qu’apprendront, le 15 mars, les participants au Congrès des décideurs! Sans avoir encore eu accès aux résultats du sondage qui vient de se terminer vendredi, j’en sais assez pour affirmer que plusieurs préjugés vont tomber. Vos clients potentiels sont possiblement nombreux; encore faut-il que vous les connaissiez pour leur plaire.

L’offre de produits n’est pas tout. Même que certains diront que c’est secondaire; c’est le service qui compte. Où est la vérité? Notre sondage révélera l’importance qu’accordent les rénovateurs et les acheteurs à votre politique de bas prix, à la courtoisie et à l’expertise de votre personnel, à l’emplacement de votre magasin et à la réputation de votre bannière. Drôlement utile, non?

On peut aussi tirer des apprentissages utiles des big boxes américains, Lowe’s en particulier, dont le service de recherche et développement est tellement important. Les désirs des consommateurs de demain, ils les connaissent déjà. Ce sera l’essentiel de la présentation que fera au congrès, traduite en français, Michael McLarney, éditeur de Hardlines.

C’est le temps, maintenant, avant vendredi, d’économiser 50 $, de vous inscrire au Congrès des décideurs. Écrivez à Sylvie Pelletier à spelletier@aqmat.org ou cliquez ici.

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